Publié sous : Le Reiki
 

La signification des Symboles Reiki

Les 3 premiers Symboles Reiki

 

Ces symboles possèdent une charge énergétique très puissante. Conséquemment, il est important de ne pas s’en servir à tors et à travers. Vous devez visualiser les symboles en violet.

 

« Premier Symbole »

Choku rei
(cho) (cou) (ray)

 

Le mot cho ku rei, bien que généralement écrit en katakana, alphabet phonétique japonais utilisé pour les mots étrangers et les noms propres, peut s’écrire avec deux kanji, Choku et rei . La traduction donnée par Takata est « place le pouvoir spirituel ici ». Une traduction plus littérale pourrait être « en présence des esprits ». Du fait de la notion d’esprits (kami en japonais), certaines personnes pensent que ce symbole a une origine Shintoïste. D’autres personnes pensent que ce symbole est lié au shugendo, de par sa symbolique. Les pratiquants du shugendo utilisent des conques munies d’une embouchure en bronze comme instrument de musique pour communiquer dans les montages, et pour induire la transe pendant qu’ils récitent les sutras. Certains voient le symbole chokurei comme une conque stylisée.

Le symbole chokurei est le symbole du pouvoir, il est utilisé pour appeler l’énergie à un endroit, pour augmenter le courant de reiki, pour aider à la concentration. Il peut être tracé avec la paume de la main, ou visualisé. Il peut être utilisé pendant un traitement, ou sur de la nourriture, sur un objet, un lieu… Il s’utilise également en conjonction avec les autres symboles (symbole du traitement à distance, symbole mental). On peut également utiliser le symbole chokurei comme une amulette de protection.

Comme tous les autres symboles reiki, chokurei peut également être utilisé comme un mantra, à voix haute ou intérieurement, pour aider à la méditation, ou pendant un traitement. En japonais, on parle de kotodama dans le shinto, et de jumon dans le bouddhisme ésotérique. Quel que soit le mot qui est utilisé cette pratique est équivalente à celle des mantras en Inde. Bon nombre de maîtres ont intégré cette pratique en occident de façon assez variée, souvent dans le dogmatisme. On entend souvent dire que si l’on prononce mal les symboles, cela peut avoir un effet négatif. Non seulement il n’y a pas de raison à cela, mais la plupart des personnes qui m’ont dit cela pensaient qu’il fallait rouler les « r », alors que ce son n’existe pas vraiment en japonais et pour l’exemple du symbole chokurei la prononciation japonaise se rapproche plutôt de « tchokouléie » que de « tchokourrréie ». De plus, dans la pratique du kotodama, les mots ne sont pas prononcés tel quel. On suppose que du temps de Usui, le kotodama utilisé pour le symbole chokurei était « o » « kou » « éie ». Dans la pratique du kotodama, on inspire longuement, puis, à l’expiration, on fait vibrer le mot, tout aussi longuement, puis on inspire à nouveau, … Le son ne doit pas être centré au niveau du nez ou de la gorge, mais au niveau de la bouche. Il doit la faire vibrer entièrement. Si la pratique du kotodama ne vous inspire pas, vous pouvez tout aussi bien utiliser le nom du symbole comme mantra.

 

« Deuxième Symbole »

Sei he ki
(say) (hay) (ke)

 

Le mot seiheiki peut s’écrire de deux façons en katakana, sei he ki ou sei hei ki. Dans le premier cas, on peut le retranscrire avec deux kanji,  sei 性 et heki . Ce mot est utilisé en japonais courant et a pour signification, une habitude, tendance, un penchant. Il existe d’ailleurs une technique japonaise de reiki, seiheki chiryo-ho, utilisant le deuxième symbole, dont le nom peut être traduit par « méthode pour traiter les mauvaises habitudes ». Dans le second cas on peut retranscrire seiheiki avec trois kanji de la façon suivante, sei , hei , et ki . Heiki est un mot utilisé en japonais courrant et signifie calme. Sei fait référence aux émotions, aux ressentis. Seiheiki est donc le symbole qui calme les émotions. Le symbole en lui-même, dans son tracé, est inspiré du symbole kiriku, lié au bouddha Amida, utilisé comme support de méditation dans le bouddhisme mikkyo (bouddhisme ésotérique japonais). Ce symbole est lui-même une adaptation de la lettre sanskrite hrih. L’alphabet sanskrit est utilisé au Japon dans le bouddisme mikkyo depuis le neuvième siècle.

Le symbole seiheiki est le symbole mental, il est utilisé pour calmer l’esprit, et traiter le stress, la nervosité, la peur. Il peut également être utilisé pour le traitement des dépendances et des blessures émotionnelles. Il peut également être utilisé pour traiter les mauvaises habitudes. Il peut être tracé avec la paume de la main, ou visualisé. Il peut être utilisé pendant un traitement, ou sur de la nourriture, sur un objet, un lieu… Il s’utilise également en conjonction avec les autres symboles (symbole du pouvoir, symbole du traitement à distance).

Comme tous les autres symboles reiki, seiheiki peut également être utilisé comme un mantra, à voix haute ou intérieurement, pour aider à la méditation, ou pendant un traitement. En japonais, on parle de kotodama dans le shinto, et de jumon dans le bouddhisme ésotérique. Quel que soit le mot qui est utilisé cette pratique est équivalente à celle des mantras en Inde. On suppose que du temps de Usui, le kotodama utilisé pour le symbole seiheiki était « éie » « éie » « ki ». Dans la pratique du kotodama, on inspire longuement, puis, à l’expiration, on fait vibrer le mot, tout aussi longuement, puis on inspire à nouveau, … Le son ne doit pas être centré au niveau du nez ou de la gorge, mais au niveau de la bouche. Il doit la faire vibrer entièrement. Si la pratique du kotodama ne vous inspire pas, vous pouvez tout aussi bien utiliser le nom du symbole comme mantra.

 

« Troisième Symbole »

Hon Sha ze Sho nen
(hon) (shaw) (zé) (chou) (nen)

 

Le symbole hon sha ze sho nen n’est pas véritablement un symbole, mais plutôt un ensemble de cinq kanji stylisés. Dans cet exercice de calligraphie, certains traits ont été superposés, d’autres supprimés. De ce fait, c’est le symbole dont le tracé offre le plus de différences d’une école de reiki à une autre. On peut retranscrire hon sha ze sho nen avec les cinq kanji, hon qui signifie « origine, racine, essence », sha qui signifie « une personne », ze qui signifie « juste, correct », sho (ou plutôt shoo) qui signifie également « juste, correct », et enfin nen qui signifie « pensée, conscience ». On peut traduire cela par « la pensée correcte est l’essence de l’être ». On trouve souvent d’autres interprétations pour ce symbole. Les deux plus connues sont « pas de passé, pas de présent, pas de futur », et « le bouddha qui est en moi salut le bouddha qui est en toi ». Ce deux affirmations font références à des enseignements du sutra du lotus. Selon le premier enseignement, il existe une réalité en dehors du temps (et à posteriori de l’espace). Selon le second enseignement la boddhéité existe en chaque chose, et en chacun de nous. Je pense que ces interprétations sont issues du vécu que l’on peut avoir avec ce symbole. C’est le contenu ésotérique de ces deux enseignements qui permettent le traitement à distance, et à mon avis bien plus. C’est pour moi un symbole très important, très profond, très riche.

Le symbole hon sha ze sho nen est le symbole distant, il est utilisé pour les traitements à distance, dans tous les sens du terme. On peut donc traiter d’autres personnes, des lieux, des situations. Il est également possible de traiter des choses au-delà du temps. Par exemple traiter des blessures passées, ou donner un coup de pouce pour des situations futures. Dans certaines traditions reiki, ce symbole représente l’union (dans le même sens que yoga qui signifie également union), dans d’autres il représente un chemin vers la conscience. C’est donc également un outil très important pour l’accomplissement personnel. Il peut être tracé avec la paume de la main, ou visualisé. Il peut être utilisé pendant un traitement, ou sur de la nourriture, sur un objet, un lieu… Il s’utilise également en conjonction avec les autres symboles (symbole du pouvoir, symbole mental).

Comme tous les autres symboles reiki, hon sha ze sho nen peut également être utilisé comme un mantra, à voix haute ou intérieurement, pour aider à la méditation, ou pendant un traitement. En japonais, on parle de kotodama dans le shinto, et de jumon dans le bouddhisme ésotérique. Quel que soit le mot qui est utilisé cette pratique est équivalente à celle des mantras en Inde. On suppose que du temps de Usui, le kotodama utilisé pour le symbole hon sha ze sho nen était « o » « a » « zé » « o » « né ». Dans la pratique du kotodama, on inspire longuement, puis, à l’expiration, on fait vibrer le mot, tout aussi longuement, puis on inspire à nouveau, … Le son ne doit pas être centré au niveau du nez ou de la gorge, mais au niveau de la bouche. Il doit la faire vibrer entièrement. Si la pratique du kotodama ne vous inspire pas, vous pouvez tout aussi bien utiliser le nom du symbole comme mantra.

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